Actuellement à pied d’oeuvre des plantation des massifs estivaux, la brigade dédiée aux espaces verts communaux travaille comme chaque année à l’embellissement de la ville.
L’occasion de peaufiner les méthodes et produits utilisés selon les suggestions notamment du comité des villes et villages fleuris.
Les méthodes d'entretien des espaces verts et de végétalisation évoluent
C’est ainsi qu’on procède à “la gestion différenciée” des espaces enherbés, dont une partie est désormais volontairement laissée à la pousse. Ces méthodes recommandées spuis maintenant plus d’une décennie par les services de l’environnement.
Le recours aux plantations annuelles est aussi sujet à débat, et il est question d’en minimiser l’étendue. Pour autant, il reste tout de même quelque 10 000 pieds de plants estivaux annuels à implanter, entre autres dans les nouveaux massifs qui petit à petit végétalisent davantage la ville tels que rue Guy-Dath, carrefour des rues Carnot, Grognet-Gourlain et Pasteur, rue Florentin Lefils…
Le problème est rarement l'animal mais plus souvent le maître...
A ce sujet, les agents en charge de ces plantation ont eu la désagrable surprise tout récemment d’oberver du côté de la rue Georges, le saccage des massifs après qu’au moins un chien a gratté et creusé les plantations posées la veille, et y a aussi laissé des déjections.
Dans le cas présent, le chien n’est pas vraiment le problème, il s’agirait surtout de blâmer le(s) maître(s).
Rappelons qu’il est strictement interdit de promener son chien sans laisse sur le domaine public, qu’il est encore moins toléré de le laisser divaguer sans surveillance, et qu’en tout état de cause ce sont les maîtres qui sont responsable des déjections de leurs animaux de compagnie.
Et parce qu’il paraît bon de le mentionner, il va sans dire que les plantation scommunales ne relè-vent pas non plus du “self-service” pour les amateurs de plants à “moindre coût”…